Aline SALOMON est admirative des calligraphies arabes et latines. Elle les compare à la musique, une musique du silence, qui aide à se recentrer, à se poser, dans une civilisation où tout doit aller de plus en plus vite. Elle pratique la calligraphie depuis 6 ans, avec Brahim Zerouki, maître calligraphe. C'est une discipline qui allie la rigueur de la technique au plaisir de l'interprétation, de la création. C'est pour elle une façon de donner à voir ces mots, ces phrases, glanés au fil des lectures, un hommage à ceux qui savent si bien mettre en mots leurs émotions et leurs pensées.